Le culte de la Liberté

Le culte de la Liberté

mercredi 20 janvier 2016

Un climat de charia

Il n'y a pas un jour sans nouvelles, les unes encore plus consternantes que les autres, sur ce qui se passe autour de l'immigration massive en Europe. Voici encore deux rapports de ce qui se passe en Allemagne, mais c'est exactement la même chose en Suède. Dans d'autres pays aussi ? Comme il y a une campagne systématique de ne pas "stigmatiser" les musulmans (mieux vaut stigmatiser les chrétiens ? Les Juifs ?), on ne le saura sans doute pas avant bien longtemps.
Voici donc deux nouveaux rapports. Et toujours un même appel. Un monde qui rejette le Dieu de la Bible va dans le mur. Il faut donc revenir de la folie et se tourner vers l'Evangile.


Des chrétiens réfugiés sont martyrisés par des vigiles et des migrants musulmans dans les centres d’accueil en Allemagne
Jan 19, 2016

Le martyre des Chrétiens d’Orient ne s’arrête pas aux portes de l’Europe. Dans les centres d’accueil pour migrants ils retrouvent les violences islamistes.
Les réfugiés chrétiens sont exposés dans les centres d’accueil pour migrants au harcèlement et la violence des islamistes. Mais certains membres du personnel de sécurité d’ascendance turque et arabe ne détournent pas seulement le regard, ils les battent.
« Le patient a été battu aujourd’hui par quatre personnes de la sécurité. Il souffre depuis d’un gros mal de tête et des douleurs dans l’abdomen… » décrit le service d’urgence de la Hesse Hochtaunus-Kliniken.
« Ils m’accusent d’avoir insulté l’islam pour ensuite me battre à coup de pied dans le visage, » témoigne ce Chrétien iranien.
Presque tous les jours, lui et 13 autres chrétiens dans le centre d’accueil sont insultés par des réfugiés musulmans, en particulier quand ils se rendent à l’église avec leurs Bibles dans leurs mains.
« Nous avons peur des autres migrants et nous nous attendons à quelque chose d’autre, mais également des gardes qui méprisent notre foi, nous n’aurions jamais imaginé cela possible en Allemagne. »
© Christian De Lablatinière pour Europe Israël News

Source : Welt.de

« Je n’en peux plus »
Témoignage d’une salariée d’un centre de migrants
Jan 19, 2016
Une habitante de Hambourg travaille dans un centre d’accueil des migrants nouvellement arrivés. Cette trentenaire raconte à quoi ressemble son quotidien et pourquoi elle envisage maintenant la démission. La crise des réfugiés ne cesse de s’aggraver. Dans les centres d’hébergement de Hambourg, la situation est aussi extrêmement difficile; dans le « Welt am Sonntag » une employée anonyme raconte son quotidien.
« Depuis l’automne 2015, je travaille en CDI à temps plein dans un centre d’accueil pour les réfugiés qui viennent d’arriver. J’avais présenté ma candidature à ce poste volontairement, cela correspondait exactement à ce que je souhaitais faire. Lorsque j’ai reçu la proposition d’embauche dans ma boîte aux lettres, j’étais folle de joie; j’allais enfin pouvoir réaliser quelque chose de concret pour les réfugiés, et non plus les soutenir seulement théoriquement.
En conséquence, je me suis présentée dans les meilleures dispositions pour mon premier jour de travail dans le centre d’accueil; j’étais évidemment excitée, c’est sûr, on l’est toujours pour le premier jour dans un nouvel emploi, mais cela m’a réellement bien plu. Mes collègues s’investissaient dans leur travail et étaient sympas, je n’avais certes encore aucun contact avec les réfugiés, mais je les ai accueillis avec beaucoup d’enthousiasme dans la région et je les trouvais tous formidables.
« Cela va être vraiment super ici », me disais-je. Dans les jours qui suivirent, je me suis investie avec une motivation sans faille dans le travail. Il s’articulait autour des jusqu’à 1500 réfugiés, qui étaient logés ici. J’étais chargée de leur accompagnement social, je devenais l’interlocuteur des réfugiés pour tous leurs problèmes sociaux, je devais les aider dans leurs démarches de demande d’asile ou leur fixer des rendez-vous chez le médecin s’ils en avaient besoin.
Ma foi, les premiers réfugiés vinrent alors dans mon bureau, dans lequel je voulais organiser l’accompagnement social – et des les premières rencontres je remarquai que ma représentation très positive et idéaliste de ces personnes et de leur comportement était clairement différente de la réalité. Evidemment, il ne faut pas généraliser à l’ensemble des réfugiés, beaucoup d’entre eux sont très amicaux, très reconnaissants, très désireux de s’intégrer, très heureux d’être ici.
Mais pour être honnête, la coopération avec 90% de ceux que je rencontre est plutôt désagréable et malheureusement différente de ce que je m’étais imaginée auparavant. 
Premièrement, beaucoup d’entre eux sont extrêmement exigeants.
Ils viennent me voir et exigent que je leur procure sans délai un appartement, une belle voiture et également si possible un bon travail, parce que je dois faire cela, c’est bien pour cela que je suis assise ici et qu’ils sont venus se présenter ici.
Ils exigent que je leur procure sans délai un appartement, une belle voiture et également si possible un bon travail
Si je rejette leurs demandes et que j’essaie plutôt de leur expliquer que cela ne peut pas fonctionner ainsi, ils haussent alors souvent le ton ou deviennent parfois réellement agressifs. Dernièrement, un Afghan a menacé de se suicider. Et quelques Syriens et un groupe d’Afghans ont expliqué qu’ils allaient entamer une grève de la faim jusqu’à ce que je les aide à changer d’endroit.
Ils deviennent parfois réellement agressifs
Une fois ils ont vraiment hurlé sur une de mes collègues d’origine arabe « Nous allons te décapiter ». En raison de ce genre de choses, les policiers étaient présents auprès de nous plusieurs fois par semaine.
Deuxièmement, ils font souvent des déclarations très peu fiables. Ils viennent me voir avec leurs papiers et me racontent alors une histoire qui n’est absolument pas vraisemblable. Mais ils s’y accrochent et je ne peux être sûre de moi qu’après avoir discuté de leur situation avec mes collègues, qui me disent souvent que la personne s’est déjà présentée chez eux la veille et a raconté son histoire différemment.
Par exemple, un habitant est venu me rencontrer avec son arrêté d’expulsion, pour me demander ce qui allait maintenant se passer. Je lui ai expliqué et il est parti. Peu après, il s’est rendu chez ma collègue et lui a présenté de tous nouveaux papiers d’identité, sous un autre nom, et il prétendait être cette personne avec cet autre nom. Il ne pouvait ainsi plus être identifié, mais simplement transféré vers un autre camp.
Troisièmement, ils n’honorent que rarement leurs engagements.
Comme je vous l’ai dit, je fixe aussi les rendez-vous des réfugiés chez les médecins. Ils doivent tous réaliser un examen complet, incluant des radios, un vaccin et un check-up complet. Mais beaucoup d’entre eux veulent aussi aller voir d’autres médecins, en particulier un dentiste ou un orthopédiste.
Je leur fixe alors des rendez-vous, mais quand le rendez-vous arrive, ils ne se présentent pas. Cela arrive si fréquemment que les médecins nous ont maintenant prié de ne plus prendre autant de rendez-vous – mais comment devrais-je m’y prendre?
Je ne peux pas refuser de fixer un rendez-vous simplement parce que je pense que le demandeur pourrait ne pas s’y présenter.
Et quatrièmement, le plus grave à mes yeux : certains réfugiés se comportent de façon inadmissible envers nous, les femmes.
Il est bien connu que 65%, ou peut-être même 70% selon moi, de ceux qui se présentent à nous sont avant tout des hommes seuls. Tous sont jeunes, seulement âgés d’une vingtaine d’années, 25 ans au maximum.
Une partie d’entre eux n’accorde absolument aucune importance aux femmes. Ils acceptent notre présence, ils n’ont pas d’autre choix, mais ils ne nous prennent pas du tout au sérieux. En tant que femme, lorsque je veux leur dire quelque chose ou leur donner une consigne, ils m’écoutent à peine, rejettent ce que je leur dis parce que cela leur semble sans importance, et préfèrent se tourner vers un de mes collègues masculins.
Ils n’ont pour nous, les femmes, souvent que des regards dédaigneux – ou même insistants. Ils sifflent l’une d’entre nous ostensiblement, crient quelque chose dans une langue étrangère que la plupart de mes collègues et moi ne comprenons pas, ils rient. C’est vraiment très déplaisant.
Il est même arrivé qu’ils photographient quelqu’un avec un smartphone. Aussi facilement que cela, sans demander d’autorisation, même si l’on protestait. Récemment je suis monté dans un escalier assez raide. Certains hommes m’ont suivi, ont monté les marches derrière moi et ont passé leur temps à rire et, je suppose, à parler de moi et à m’interpeller. Des collègues féminines m’ont raconté qu’il leur est déjà arrivé des choses similaires. Elles ont en revanche dit que nous ne pouvons rien y faire. Que cela fait partie de notre travail. Cela se produit si souvent, si à chaque fois on voulait faire un signalement, le centre serait beaucoup moins rempli.
Alors ignorez cela et essayez d’éviter que cela vous arrive à nouveau – c’est ce que j’ai finalement aussi fait. J’ai marché en regardant droit devant moi quand ils me sifflaient par derrière ou m’interpellaient. Je n’ai rien dit et je n’ai rien laissé paraître, pour ne pas les encourager, pour éviter de leur donner le sentiment qu’ils me blessaient ou qu’ils avaient de l’influence sur moi.
Cela n’a rien changé; pour être honnête c’est même devenu pire, notamment dans les dernières semaines lorsque de plus en plus d’hommes d’Afrique du Nord, du Maroc, de Tunisie ou de Libye sont venus dans le centre. Ceux-là étaient encore plus agressifs.
Je ne pouvais plus faire semblant d’ignorer la situation, alors j’ai réagi. Pour ne plus continuer à m’exposer. Concrètement, j’ai commencé à m’habiller différemment. Je suis quelqu’un qui aime porter des vêtements près du corps, mais plus maintenant. Je ne porte plus que des pantalons larges et des hauts sans décolleté. J’avais de toute façon peu l’habitude de me maquiller, juste un peu de mascara de temps en temps. Je n’ai pas modifié que mon apparence extérieure, pour me protéger de ce harcèlement. Je me comporte également différemment.
J’évite par exemple de me rendre dans des zones du centre dans lesquelles des hommes seuls se trouvent souvent. Et si je dois quand même m’y rendre, alors j’essaie d’y passer très rapidement et je ne souris à personne, afin que cela ne soit pas mal interprété. Mais la plupart du temps, même toute la journée si possible, je reste dans mon petit bureau.
Et je ne vais plus au travail ou à la maison en métro, parce que récemment une collègue a été suivie par quelques-uns des jeunes hommes du centre jusqu’à la station de métro et a même été importunée dans le métro. Je préfère m’épargner cela, c’est pourquoi je viens en voiture.
Je sais que cela est difficile à entendre : s’habiller autrement, éviter certains endroits et ne se déplacer qu’en voiture. Moi-même je trouve affreux de faire tout cela et de considérer que c’est nécessaire. Mais que dois-je faire, quelle serait l’alternative? Continuer à être fixée du regard ou à subir du rentre-dedans, ce n’est pas possible.
Je ne m’attends pas beaucoup d’aide des autorités. Ni à ce sujet, ni concernant les autres problèmes que nous connaissons ici, ni de la part des autorités locales, ni de la part des représentants du ministère des migrations et des réfugiés. Quand on appelle l’un d’entre eux, très souvent plus personne ne prend la peine de décrocher.
La démission est la seule solution qu’il me reste encore. Pourtant je l’avais toujours exclue jusqu’à présent; j’ai apprécié beaucoup mes collègues et aussi les enfants réfugiés. Et j’étais si convaincue par ce travail auparavant, il est très difficile d’admettre que la réalité est quelque peu différente de ce que l’on avait imaginé. Et démissionner reviendrait évidemment à admettre cela.
Maintenant j’y songe tout de même concrètement. Beaucoup de collègues, hommes et femmes, veulent aussi démissionner. Parce qu’ils n’en peuvent plus, parce qu’ils ne veulent plus observer à quel point les choses vont mal sans rien pouvoir y faire. Et pour être honnête : moi non plus, je n’en peux plus. »
(…)

mardi 12 janvier 2016

Allemagne, suite et pas fin. « C’était une situation de guerre civile. Ça va exploser ! »

Le but de ces deux posts n'est pas d'encourager un sentiment anti-musulman. Mais la vérité a le droit d'être connue. Rebâtir notre société occidentale par le mensonge ne doit pas être une option. Le mensonge ? Délibérément taire le comportement criminel d'une partie (non négligeable ?) de la population musulmane. Est-ce donc “stigmatiser” les musulmans ? Cela veut-il dire que nommer un coupable ferait maintenant du tort aux coupables ? Notre monde danse sur sa tête. Ayant rejeté Dieu, il est devenu fou. Ayant jeté la foi chrétienne aux ordures, il voit revenir les barbares. Ayant payé les terroristes qui s'attaquent aux femmes et aux enfants d'Israël, il est remboursé cash.
Faut-il se plaindre ? Ou faut-il se repentir ?

jan 10, 2016
Un témoignage qui fait froid dans le dos : Ivan Jurcevic est un professionnel des rings de sports de combat. Depuis 1989, il est aussi chaque année « videur » à l’entrée de l’Hôtel Excelsior de Cologne le soir du réveillon de Nouvel An. Il était bien placé pour voir le calvaire qu’ont vécu de nombreuses femmes ce soir-là.
Dans une vidéo postée sur son compte Facebook, il raconte que des femmes venaient le supplier de les laisser entrer dans l’hôtel car elles étaient pourchassées par des immigrés qui voulaient les violer.
Ivan Jurcevic décrit la nuit d’horreur. Des immigrés crachaient sur les clients de l’hôtel, les frappaient. Ils ont attrapé des gens, les ont tabassés et piétinés. Les policiers étaient en nombre insuffisant pour mettre fin à ces horreurs. Des groupes d’immigrés tiraient avec des fusées en direction des gens, des policiers, des voitures de police, de la cathédrale aussi.
Témoignage:
« Une personne a été poignardée, gravement blessée. Une ambulance et la police sont arrivées. Et puis ce fût l’escalade.»
« Les gens que nous avions accueillis il y a à peine trois mois à la garde de Cologne ont commencé à tirer sur la Cathédrale et sur la police…»
« Des policiers chevronnés m’ont confié qu’ils n’avaient jamais rien vu de tel dans leur vie : c’était une situation de guerre civile. »
« Aucune couverture médiatique. »
« Pendant toutes la soirée des femmes me demandaient si elles pouvaient rester près de moi pour les protéger. Nous sommes poursuivis par ces gens là ! Ils s’en sont pris alors à moi.
« Je leur ai donné une raclée car je n’avais jamais vu cela.»
Ivan Jurcevic dit mot pour mot : « Je croyais que c ‘était de la propagande d extrême droite, de Pegida, mais non ! C’était bien réel ! »
D’autres violences ont eu lieu dans la nuit « Ils ont donné des coups de pieds dans la tête d’un type allongé au sol. »
« La police anti-émeute est arrive, nous les videurs sommes intervenus. Mais aucun panier à salade n’est venu les chercher, ils étaient tous occupés et les cellules débordaient déjà. La police a dû relâcher les contrevenants.» 
« Lesquels se sont rassemblés devant les véhicules de police pour gueuler “Nique la police” et cracher sur leur pare-brise… »
« Cela va empirer. Lors du carnaval de Cologne, ça va vraiment exploser ! »
« Je me suis toujours tenu en dehors de la politique… Mais là c’est la réalité ! Des filles tremblaient debout devant moi ! »
Ivan Jurcevic a par la suite donné des interviews à la presse sur ce qu’il avait vu.
« Beaucoup sont arrivés sur place en début de soirée avec des bouteilles de bière et d’alcool à la main. La plupart d’entre eux étaient déjà ivres. »
Les clients de l’hôtel qui fument à l’extérieur de l’entrée sont accostés. Ils voulaient s’emparer des femmes.
Il voit des femmes fuir vers lui et le supplier de les aider. Leurs poursuivants suivent et menacent l’entraîneur d’arts martiaux bien connu. «Je fais 1m98 et je pèse 130 kilos. Il ne faut pas me chercher.», dit-il.
Il frappe l’un des assaillants et se retire dans l’entrée de l’hôtel. D’autres immigrés lui promettent de le tuer.
De l’intérieur, Ivan et les clients de l’hôtel assistent incrédules à des scènes d’une violence inouïe. Des agressions sexuelles, des bagarres au couteau, des gens tabassés…



« Nous avons des instructions de la hiérarchie d’ignorer les crimes et délits perpétrés par les migrants »
jan 10, 2016
Les terribles attaques et agressions sexuelles survenus à Cologne et dans d’autres villes d’Allemagne n’en finissent pas de secouer le pays. De plus en plus, de nouveaux délits sont mis en lumière.
Version originaleHessen: Ein hochrangiger Polizeibeamter aus Frankfurt/M. erklärt BILD: „Bei Straftaten von Tatverdächtigen, die eine ausländische Nationalität haben und in einer Erstaufnahmeeinrichtung gemeldet sind, legen wir den Fall auf dem Schreibtisch sofort zur Seite.“Der Beamte weiter: „Es gibt die strikte Anweisung der Behördenleitung, über Vergehen, die von Flüchtlingen begangen werden, nicht zu berichten. Nur direkte Anfragen von Medienvertretern zu solche Taten sollen beantwortet werden.“
Traduction :
Région du Hesse : Un policier haut gradé de Francfort explique au BILD : « Pour les délits commis par des criminels possédant une nationalité étrangère et qui sont enregistrés dans un centré de réfugiés, nous classons immédiatement le dossier sans suite ».
Le policier continue : « Il y a de strictes instructions venant de la hiérarchie pour ne pas reporter les crimes et délits perpétrés par les migrants. Seules des requêtes directes émises par des journalistes ou des médias peuvent être suivis d’effet ».

vendredi 8 janvier 2016

Allemagne : ce qui s'est vraiment passé

Der Spiegel s’est procuré un rapport interne de la police qui décrit l’ampleur du chaos de la nuit du nouvel An où, dans plusieurs villes allemandes, des hordes de migrants, de réfugiés, de nord africains et d’arabes ont « chassé comme du gibier », agressé, violé, violenté, volé des jeunes femmes allemandes.

Le rapport interne de la police fait froid dans le dos, car il permet au delà de toute langue de bois que nous laissons aux imbéciles journalistes des grands médias, de s’imaginer ce que pourrait donner une révolte massive et organisée de l’islam importé par les migrations récentes. Dans la nuit du 31 décembre, les policiers ont totalement perdu le contrôle de la situation, et ont redouté des morts.
Des femmes et des jeunes filles ont été assaillies de toutes parts par des hordes de musulmans qui n’ont pas été impressionnés par la présence policière et n’ont pas reculé.
La police indique dans son rapport avoir croisé, impuissante, d’innombrables passants, essentiellement des femmes et des jeunes femmes, en larmes, bouleversées, paniquées, qui déclaraient avoir été volées, frappées, et victimes de violences sexuelles.
Tous les témoins sans exception décrivent les meutes d’homme comme étant des «migrants masculins».
Des scènes de chaos dignes de films d’horreur
La police était tellement débordée, explique le rapport, l’ampleur des violences ressemblait à des films d’horreurs ou de scènes avec des morts-vivants tuant tout sur leur passage, que «les forces de l’ordre ne contrôlaient plus ni les incidents, ni les agressions, ni les délits». Incapables d’aider les victimes, incapable d’identifier les coupables, encore moins de les arrêtés, les policiers ont été submergés, impuissants, frustrés.
Voici quelques une des atrocités dont les policiers ont été témoins – et encore une fois, incapable d’arrêter :
  •        Les meutes d’hommes encerclaient leurs proies féminines et empêchaient les forces de l’ordre d’approcher pendant qu’ils se livraient à des attouchements, des violences, et les volaient.
  •        Un migrant a même lancé aux policiers : "Je suis Syrien, vous devez bien me traiter. Madame Merkel m’a invité".
  •       Des témoins ont été menacés de mort s’ils dénonçaient les coupables.
  •       Des réfugiés ont déchiré leur permis de séjour sous le nez des policiers en ricanant : "Vous pouvez rien contre moi, donnez m’en un nouveau."
  •      Les hordes de musulmans refusaient d’obéir aux ordres de la police, refusaient de quitter les lieux, et débordés par le nombre et l’agressivité de ces arabes, ils ne pouvaient procéder à aucune interpellation.
  •      Les forces de l’ordre ont été la cible de fusées et de jets de bouteilles.
  •      Il était impossible d’arrêter qui que ce soit sans risquer d’être lynché.
  •     Des bagarres ont éclaté entre les migrants pour prendre les trains d’assaut.
  •     Quand ils ont réussi à évacuation la gare centrale, les vols et agressions sexuelles ne se sont pas arrêtées, elles avaient lieu à plusieurs endroits à la fois.
  •     Les services de police ont craint qu’ils ramassent des jeunes femmes mortes ou gravement blessées sur la chaussée.

L’auteur du rapport précise que jamais, en 29 ans de service, il n’avait vécu un tel chaos et une telle indifférence vis-à-vis de la police.
On apprend également du rapport que parce que les policiers n’étaient pas assez nombreux, « ils ont très vite atteint les limites de leur manœuvre d’action », bien que leurs opérations ont duré toute la nuit, de 21h45 à 7h30, sans pouvoir éviter les viols et agressions sexuelles.
Pour l’instant, on compte 160 plaintes pour violences sexuelles, vols, et agressions, mais la police suppose que le nombre réel a de quoi faire peur.
Et personne n’osera classer cela pour ce que c’est : un acte terroriste.

© Hervé Roubaix pour Dreuz.info