Le culte de la Liberté

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samedi 23 avril 2016

Le négationnisme onusien et la dérive arabe

A la demande des pays Arabes et le vote de la France, l’UNESCO a voté une résolution remettant en cause l’existence de Jésus.
Chrétiens, réveillez vous !


Il ne s’agit pas d’un canular : L’UNESCO, sur proposition des pays arabes, a voté une résolution négationniste remettant en cause l’existence même de Jésus, voire du Christianisme, le 18 avril 2016.
Avec l’Espagne, la Slovénie, la Suède et la Russie, la France a voté favorablement cette résolution.
Cette résolution proposée par plusieurs pays arabes, efface purement et simplement tout « lien entre les juifs, le Mur occidental et le Mont du Temple à Jérusalem ».
Ce révisionnisme musulman vise non seulement à la négation pure et simple du Judaïsme en Terre Sainte mais aussi à l’existence même du Christianisme et de Jésus Christ.
En effet, si le Monde accepte qu’il n’y ait aucun lien entre les Juifs et Jérusalem, entre les Juifs et le Mont du Temple, alors Jésus ne serait plus qu’une légende inventée.

Selon le Nouveau Testament, Jésus était Juif et c’est à Jérusalem qu’il se rendit pour prier au Temple. 
Dès les évangiles de Matthieu et de Luc, nous sommes transportés à Jérusalem où sont relatées les dernières années du règne d’Hérode le Grand. Nazareth, Bethléem et, bien sûr, Jérusalem.
La capitale de David est le lieu de plusieurs épisodes des évangiles de l’enfance : la vision de Zacharie dans le Temple (Lc 1,5-23), la venue des Mages auprès d’Hérode (Mt 2,1-12) et la présentation de Jésus au Temple à 40 jours (Lc 2,22-38). Douze ans plus tard, c’est la rencontre du jeune Jésus avec les docteurs de la Loi (Lc 2,41-52).
Jésus lance en public, dans le Temple, les paroles prophétiques qui annoncent la chute de la ville et la destruction du Temple.

Le Temple est le cœur du peuple Juif : le grand lieu de la prière, des sacrifices et des grandes fêtes liturgiques. Les disciples s’extasient devant son architecture imposante : “Maître, regarde : quelles pierres, quelles constructions !” (Mc 13,1).
Luc, “Jésus passait le jour dans le Temple à enseigner et il sortait passer la nuit sur le mont des Oliviers” (Lc 21,37).

Quand Jésus monte à Jérusalem, c’est pour se rendre au Temple, l’un des lieux importants de l’évangile. Jean mentionne des montées de Jésus pour les fêtes de Pâque (2,13; 11,55), des Tentes (7,2), de la Dédicace (Hanoukka : 10,22) et pour une fête Indéterminée (5,1). 

L’importance de Jérusalem, ville juive, et du Temple Juif sont au centre des évangiles.

Il est donc pour le moins étrange qu’aucune autorité religieuse Chrétienne ne se soit élevée contre cette résolution révisionniste qui remet en cause tous les fondements du Christianisme et du Judaïsme.

Cette résolution s’inscrit dans la volonté de l’Islam et du monde Arabe de s’imposer en effaçant progressivement toute trace du Judaïsme et du Christianisme en Terre Sainte.

Déjà le 21 octobre 2015, l’Unesco avait classé le Caveau des patriarches et la Tombe de Rachel, deux lieux saints juifs en Israël, comme des sites musulmans de l’Etat palestinien.
Les pays arabes ont même accusé Israël de fabriquer de fausses tombes juives à Jérusalem !

Ce sont les fondements de la civilisation Judéo-Chrétienne qui sont remis en cause avec la complicité de la diplomatie française. 

Cette résolution infâme, soutenue par la France, devrait soulever l’indignation de l’Eglise et des Chrétiens qui jusque là restent bien silencieux.
Une fois de plus, seuls les Juifs dénoncent cette manipulation de l’histoire opérée par le monde arabe…

Le Dr Françis Weill écrivant au Préfet du Doubs suite au vote de cette résolution résume bien les faits :
« Ce vote est insensé : le Temple juif de Jérusalem, dont ce mur est un vestige, a été édifié environ mille ans avant notre ère. Le mur a été bâti au plus tard au -1er siècle par Hérode le Grand. L’islam est apparu en l’an 622 de notre ère : sept siècles plus tard. Cette résolution est donc scientifiquement stupide et moralement malveillante. Elle reprend une thèse négationniste constante de l’islam, qui, pour de raisons de politique actuelle, nie toute présence juive (et donc primo-chrétienne) antique en Israël. Il y a vingt ans déjà j’ai entendu personnellement le grand mufti de Jérusalem exprimer cette position : pour lui, le Mur est le mur de soutènement de sa mosquée. Ainsi, même si la science a prouvé qu’un objet est noir, il suffit que l’islam désire qu’il soit qualifié de blanc pour que le gouvernement français accepte de se plier à sa volonté. A cet égard la plasticité de notre gouvernement n’est pas sans rappeler celle qu’affichait le gouvernement de Vichy face aux thèses totalitaires de l’époque. Ce faisant, nos gouvernants ont installé tous les Français dans un statut de dhimmis. Ce fait est lourd de danger pour l’avenir. Ce vote n‘est pas seulement insensé; il est indigne.Nos forces de défense se battent contre l’islamisme conquérant. Et voilà qu’à l’Unesco notre pays à concédé à l’Etat islamique une immense victoire culturelle.Notre gouvernement a toujours proclamé sa détermination à lutter contre l’antisémitisme; mais en l’occurrence il a apporté, sur la scène internationale, son soutien à un certain antisémitisme. »

Les Chrétiens doivent absolument dénoncer cette manipulation de l’histoire qui remet en cause l’existence même du Christ.
Chrétiens, réveillez vous !

© Christian De Lablatinière pour Europe Israël News

Avr 22, 2016

Source : 
http://www.europe-israel.org/2016/04/demande-des-pays-arabes-et-le-vote-de-la-france-lunesco-a-vote-une-resolution-remettant-en-cause-lexistence-de-jesus-chretiens-reveillez-vous/

mardi 19 avril 2016

La marche contre la terreur ?

Ce fut une marche remarquable. 7.000 personnes ont marché pour chasser la peur après les attentats à Bruxelles. Beaucoup de personnes d’origine maghrébine, et c’est une bonne chose. Mais un détail semble avoir échappé à la plupart, y compris aux média. Il faut dire que nos média sont en général très bons observateurs pour dénicher le rouge et le vert, mais dès que le rouge et le vert s’unissent au noir et au blanc, cela semble passer inaperçu. Un effet optique ? Pourtant, le drapeau palestinien était bien là, et à ce que j’ai vu à la télé, à plusieurs endroits.
Un détail sans importance ? Ou le petit détail qui révèle l’hypocrisie terrible de notre monde occidental ?

Le même jour s’est déclenché la mini tornade politico-médiatique autour de la phrase de notre ministre de l’intérieur mettant à mal le vivre ensemble. Je ne vais pas y réagir. Mais je note avec un certain agacement la virulence de tout ce qui est rouge et vert contre des propos peut-être déplacés et, en même temps, la cécité totale et coupable devant la présence du drapeau de la terreur que symbolise le drapeau palestinien. Car danser de joie pour célébrer la mort semée par les terroristes arabes dans des villes et des villages juifs est, hélas, un fait affreusement récurrent.

Ainsi, le 18 avril, hier !, une bombe explose dans un bus à Jérusalem, faisant des blessés mais, heureusement, pas des morts. Voici le dessin créé par le dessinateur palestinien Omayya Juha pour “célébrer” cette attaque. Il dessine une femme palestinienne devant les restes du bus calciné. Elle crie sa joie et distribue des friandises pour fêter l’événement. [1]
C’est très loin d’être un fait isolé. Systématiquement, les autorités palestiniennes, qu’elles soient de Ramallah ou de Gaza, reproduisent ce genre de comportement en encourageant leur peuple à tuer des Juifs.

Alors, quand je vois un drapeau palestinien lors d’une marche contre la terreur, je me dis qu’on se fait avoir. C’est le petit détail qui damne. Et tant que nos média et nos politiques ne veulent pas comprendre cela, faut-il vraiment les prendre au sérieux ? Combien y a-t-il eu de victimes palestiniens lors des attentats à Bruxelles, à Paris et ailleurs ? Alors, pourquoi des drapeaux palestiniens ? Ce drapeau dit haut et fort l’inégalité devant l’horreur des attentats. Il dit que le sang juif est inférieur et que le faire couler est normal, selon les normes. Quand ce drapeau est porté ou déposé lors des manifestations contre la violence, il veut dire en fait : Ne prenez pas tout ceci trop au sérieux. Le terrorisme n’est pas si mal que cela. Tout dépend. La victime par ci est pareille au terroriste par là. Il veut dire : la lutte contre la terreur et la terreur contre les Juifs, c’est la même chose. Mais alors, une marche contre la terreur devient aussi une marche pour la terreur … C’est étonnant, non ?

Pourtant, il y a bien eu une vraie marche contre la terreur. Le même jour. Dans la même ville de Bruxelles. Mais pour celle-là, pas de couverture médiatique. Quelques 2.000 personnes ont marché pour la vie, et donc contre la terreur de l’avortement, qui, pour être officiellement autorisée, n’en est pas moins une vraie terreur, qui coûte, bon an et surtout mal an, des milliers de morts d’enfants à naître (et des millions de par le monde). Mais cette terreur-là n’intéresse plus personne.

Et si la vraie terreur est celle qui condamne l’autre à être exterminé sans aucune compassion, sans aucune attention et sans aucun recours ? La vraie terreur est celle qui déshumanise l’autre. Car seuls des êtres déshumanisés peuvent être éliminés sans aucun égard.

Ainsi, les marches contre la terreur de ce dimanche 17 avril étaient révélatrices. Mais qui a encore des yeux pour le voir ?