Le culte de la Liberté

Le culte de la Liberté

samedi 17 juin 2017

La dictature des crédules

Le domaine de nos libertés individuelles, autrefois si bien protégé, est en train de rétrécir sérieusement. De nouveaux totalitarismes s’implantent et de nouveaux esclavages se discernent à un horizon qui lui se rétrécit également.
Au fur et à mesure que la vérité, fondement de toute vraie liberté, est battue en brèche et que les anciennes valeurs sont jetées aux orties, notre monde se transforme en une société fondée sur le mensonge. Trop pessimiste ? Cet article veut montrer ce qui se passe.

La foi en ces mensonges – et leur effet est cumulatif – est de créer ce que j’appelle la dictature des crédules. Le rétrécissement de la vérité va de pair avec une crédulité qui dépasse le crédible. Cette crédulité est accompagnée de l’établissement d’une intolérance absolue et méchante de toute autre conviction. Le résultat est le monde nouveau dans lequel nous vivons. Quant à la finalité, il faut sans doute s’attendre à l’accueil du Menteur par excellence.

Les climatocrédules [1] et la chasse aux sorcières
Pendant quelques années, j’ai habité en Afrique. Une des choses qui m’a frappée dans la culture africaine est la recherche, lors d’un décès, du coupable. Il n’est pas possible que quelqu’un meure “comme ça”. Quelqu’un, un tiers, porte nécessairement la responsabilité de cet événement anormal. D’où le besoin de la sorcellerie, car il faut le découvrir (dans les deux sens) et le punir.

Dans le débat qui entoure le climat, cet état d’esprit “primitif” est très évident. Le réchauffement climatique, s’il est réel – j’y reviendrai –, est un de ces événements anormaux pour lequel il faut trouver un coupable. Cela ne peut arriver autrement que par quelqu’un. Il n’est pas acceptable de penser que cela puisse arriver sans coupable, “comme ça”. Et ce coupable est forcément l’homme, le seul coupable contre qui il est possible d’agir. Est-ce raisonnable ? Non. La preuve scientifique d’une origine anthropique d’un éventuel réchauffement climatique n’a jamais été fournie, et n’est pas prête à être fournie. D'ailleurs, le GIEC n’est pas mandaté par l’ONU pour étudier les causes naturelles du changement climatique, mais uniquement l’impact de l’homme sur celui-ci. Il ignore donc l’impact déterminant de la nature sur les changements climatiques historiques, avant que l’homme ne se met à utilise les énergies fossiles.

Dans un monde qui a balayé Dieu, la recherche des coupables – la chasse aux sorcières – n’est pas devenue plus facile. Après tout, il est inconcevable de se croire abandonné à un destin aveugle. Cela a toujours été un relent de religion dans la société. Il est donc impératif d’imaginer un coupable humain et de prendre son sort en mains. Dès lors, malheur à qui veut rompre le charme et briser le sortilège que l’on s’est jeté à soi-même. Par ailleurs, n’est-ce pas un sentiment agréable que de croire pouvoir faire quelque chose, plutôt que de subir sans rien faire ? Est-ce la raison de la violence des uns et de l’arrogance des autres devant ceux qui refusent de croire à ce mensonge et qui refusent ainsi de se croire coupables ? Trump est donc nécessairement celui par qui le scandale arrive. Tous n’ont-ils pas reconnu leur culpabilité commune ? L’Accord de Paris n’était-il pas conclu à l’unanimité ? Trump, et les idiots qui pensent comme lui – est-ce d’ailleurs vraiment “penser” que de s’opposer à l’évidence ? – sont à écarter. A quand une inquisition “climatiste” ? Certains y pensent déjà.

La démocratie atteint ses limites
Oui, mais Trump n’est-il pas élu démocratiquement ? De cela, on n’en a cure. L’élection de Trump avait déjà montré les limites de la démocratie, et pas qu’aux USA. Sa décision de sortir de l’Accord de Paris a encore attisé le feu anti-démocratique. Nos gouvernements y jouent un rôle très prononcé. Mais vous imaginez les réactions dans notre vieille Europe si Trump avait eu le toupet de dire ce que M. Macron s’est cru permis de dire en public ? On énumère et on encourage ceux qui, aux USA, s’opposent à la décision du président Trump. Nos média et nos politiques se délectent devant cette révolte anti-Trump. Il est devenu “la sorcière” à brûler, le démon à abattre. Et dans ce jeu, tous les coups sont permis.

Je me suis posé la question opposée : Comment cela se passerait-il chez nous ? Imaginez un bourgmestre – un maire –, un gouverneur de province, un préfet ou le gouvernement d’une région, qui déciderait de faire bande-à-part contre le lobby climatique. Quelle liberté politique y aurait-il pour une telle région d’encourager et de décider des politiques en sens opposé ? Par exemple, si, en Belgique, la région flamande devait s’embarquer dans une politique en désaccord avec l’Accords de Paris ? Ou, en France, si la région PACA devait prendre une telle décision ? Croyez-vous qu’on les laisserait faire ? Pensez-vous qu’on accepterait de bonne grâce les encouragements officiels du gouvernement américain à l’adresse de ces régions politiquement très incorrectes ? Poser ces questions est déjà y répondre.

Oui, mais, dira-t-on, ce n’est pas pareil ! De un, Trump a pris sa décision sur un coup de tête, influencé par le lobby pétrolier. C’est un “écocide”. Permettez-moi de vous suggérer la vidéo suivante, “Que penser de la sortie américaine de l’Accord de Paris ?” qui y répond fort bien : https://www.youtube.com/watch?v=SNmXHos0fuk[2]
De deux, c’est un crime contre l’humanité. Car le réchauffement nous fera "cramer" tous, à moins de tenir tous ensemble contre lui et de faire baisser la température. J’avais déjà réagi à cela sur ce même blog (ici : http://alternatio.blogspot.be/2015/08/sagesse-et-flatterie.html). Lorsqu’on tend à créer un mouvement de panique basé sur un mensonge, ce dernier ne se transforme pas par un coup de baguette magique en vérité.

Mais allons un peu plus loin.

L’unanimité derrière l’Accord de Paris
Cette belle unanimité à Paris est en fait un argument spécieux. Son fondement n’est pas réellement dans la force de l’argument. Pour quelle raison, beaucoup de pays sous-développés ont-ils adhéré à un accord qui ne peut que coûter beaucoup d’argent ? Parce qu’ils sont arrivés à la conclusion que sans cet accord, ce serait la fin du monde ? Parce que les températures ne font que monter dans leurs pays ? Ce sont des questions rhétoriques bien sûr. La vraie raison dans ce bas monde est le plus souvent à chercher ailleurs.

Dans l’article auquel je fais référence plus haut, j’avais cité la décision de transférer 100 milliards de dollars par an des pays de l’OCDE vers tous les autres, y compris l’Inde et la Chine. Cette décision constitue une partie intégrale de l’Accord de Paris. C’est un argument très puissant pour mettre sa signature sous un document ! Car 100 milliards de dollars, c’est beaucoup d’argent. Enlevez cette décision, et la belle unanimité risque fort de voler en éclats.

Qui va payer cette somme colossale et annuelle ? Nous, la riche Europe, mais maintenant sans les USA : la facture risque d’être salée. Est-ce une des raisons derrière l’indignation européenne devant la décision du président Trump ? 
Et où va partir cet argent ? Dans le développement nécessaire du Sud ? Ou dans les poches de ses dirigeants, trop souvent corrompus ? Il y a un précédent de fort mauvais augure. L’Occident a versé depuis des années beaucoup d’argent aux autorités palestiniennes et gazaouites. Où est parti cet argent ? Vous l’avez deviné (ou vous le saviez déjà) : dans les poches de ses très riches dirigeants, des gens comme Yasser Arafat et Mahmoud Abbas. Apparemment, nos gouvernements sont bien plus à l’aise à sortir l’argent des caisses publiques (le public étant les gens qui paient les taxes) qu’à contrôler la façon dont il est utilisé.
Notons en passant que la grande finance a financé une partie des coûts de la COP-21 et continue de marteler qu’il faut mettre en œuvre l’Accord de Paris car – vous l’aurez compris – ces 100 milliards vont être manipulés par les grandes banques. Le comble est que les gens pensent que les capitalistes ne veulent pas de l’Accord de Paris, alors que ce sont eux qui y poussent pour profiter de l’argent public.

Le réchauffement ? Parlons-en !
La climatocrédulité ressemble fort à une secte chrétienne. Sa foi, à l’image de la foi chrétienne, est fondée sur des prophéties. Celles-ci sont l’œuvre du très politique GIEC, et jouissent d’une médiatisation tout à fait remarquable. Que disent ses prophéties ? Que nous allons connaître une hausse de plusieurs degrés centigrade de la température moyenne (on parle de 5 à 7 degrés) d’ici la fin du siècle, à moins de prendre des mesures draconiennes, l’Accord de Paris visant à limiter à 2°C cette augmentation annoncée par des ordinateurs.
J’aimerais tout simplement rappeler ceci.

On a déjà connu des périodes de réchauffement climatique par le passé, et sans qu’il y ait eu question d’une hausse alarmante de la température causée par l’activité humaine. Ce fut le cas au Moyen-âge lors de l’optimum climatique médiéval. Ce fut un temps où le raisin poussait en Angleterre. Des épisodes de refroidissement climatique ont suivi ces réchauffements naturels.

En lisant un livre d’histoire sur l’an mil, publié avant la frénésie du changement climatique anthropique, je suis tombé sur le paragraphe suivant : “Il faut se rappeler que le climat mondial autour de l’an 1000 A.D. était plus modéré qu’aujourd’hui, particulièrement dans l’Atlantique Nord. Tant en Groenland qu’en Islande, la température était plus haute d’un degré centigrade, ce qui fait une différence considérable, puisque la température globale de l’Age de glace était seulement de trois degrés plus froide qu’aujourd’hui. …” [3]

Ce qui a piqué mon intérêt est la différence de ces températures. Un degré est une différence considérable et l’Age de glace, temps catastrophique s’il en est un, n’était que de trois degrés plus froid qu’aujourd’hui. Alors, avoir la prétention d’annoncer des hausses de 5 à 7 degrés pour la fin de notre siècle semble bien excessif et sans aucun fondement dans l’histoire et, faut-il l’ajouter, dans la science.

A cela, j’aimerais ajouter un article du New York Times du 21 mai 1975. L’entête : Des scientifiques se demandent si le climat mondial est en train de changer; un refroidissement majeur peut être à la porte.
Environ 20 ans avant le début du matraquage autour d’un réchauffement climatique, des scientifiques pouvaient donc se poser la question contraire ! Qu’est-ce que cela nous dit sur la capacité de prévision du climat, si non de conclure qu’il est impossible de dire quel climat on aura d’ici 25 ans ? Alors, d’ici 50 ou 100 ans, la question ne se pose même pas. Curieusement d’ailleurs, à la page 774 du 3me Rapport d’évaluation du GIEC de 2001, il est dit de manière tout à fait explicite qu’il est impossible de déterminer mathématiquement le climat à long terme[4]
Le Monde écrivait au sujet de ce refroidissement annoncé :
“« Les scientifiques étaient tous d’accord pour penser, dans les années 1970, que la Terre se dirigeait à grands pas vers une nouvelle ère glaciaire. » Omniprésente dans la blogosphère climatosceptique, cette affirmation sous-entend, bien sûr, que le consensus actuel sur le réchauffement en cours et à venir ne vaut peut-être pas beaucoup mieux…
Il n’y a, en réalité, jamais eu le moindre consensus dans la communauté scientifique, dans les années 1970, pour affirmer que la Terre était entrée – ou allait entrer – dans une phase de baisse durable et prolongée des températures. Il y a bien eu des articles de presse sur ce thème comme en témoigne cette couverture du magazine Time barrée du titre « The Big Freeze » (« Le grand coup de froid ») et publiée le 31 janvier 1977… Mais qui faut-il blâmer : les scientifiques ou les journalistes ?” [5]
Les scientifiques étaient-ils tous d’accord ? Donc le New York Times et Time magazine avaient tout inventé ? Non bien sûr. Il n’y a pas eu de consensus. Tous n’étaient pas d’accord. Et nous en sommes toujours là. Et plus la science se met à hésiter, plus la bulle climatocrédule gonfle. Parce qu’il y a beaucoup de milliards de dollars en jeu ? Parce que pour beaucoup, mieux vaut être vert que paraître stupide ?

Voici pour rappel de l’histoire récente du climat l’amplitude des fluctuations de la température selon les carottages du Groenland :

Amplitudes des variations de température au Groenland comparées aux variations globales récentes estimées.
On remarque que les températures du 20e siècle (en bleu ) varient actuellement selon une amplitude bien plus faible que dans le passé. On note aussi que les températures des époques historiquement connues comme plus froide du Petit-âge glaciaire ainsi que des périodes connues historiquement plus chaudes comme l'optimum climatique du Moyen-âge sont bien traduites sur cette courbe de résultats observationnels.


D’étranges amalgames
Récemment, je fus intrigué de lire que l’on avait dévoilé la cause essentielle du réchauffement climatique. Voici une citation de cet article :
« Lors d’un interview récent avec Refinery 29, Gloria Steinem [6] a dit que le changement climatique aurait pu être évité si plus de femmes avaient avorté leurs enfants. Elle expliquait : La “Climate deprivation” (la privation du climat) est causée par la population. Plus d’avortements auraient empêché l’élévation de la température globale. “[S]i on n’avait pas systématiquement forcé les femmes à avoir les enfants qu’elles ne voulaient pas avoir […] durant les derniers 500 ans de patriarcat, nous n’aurions pas les problèmes climatiques d’aujourd’hui. C’est bien là la cause fondamentale du changement climatique.” » [7]

Etrange amalgame ? Sans doute, mais saviez-vous que cela se trouve déjà, de manière voilée, dans le préambule de l’Accord de Paris ? Voici le paragraphe en question :

Conscientes que les changements climatiques sont un sujet de préoccupation pour l’humanité tout entière et que, lorsqu’elles prennent des mesures face à ces changements, les Parties devraient respecter, promouvoir et prendre en considération leurs obligations respectives concernant les droits de l’Homme, le droit à la santé, les droits des peuples autochtones, des communautés locales, des migrants, des enfants, des personnes handicapées et des personnes en situation vulnérable et le droit au développement, ainsi que l’égalité des sexes, l’autonomisation des femmes et l’équité entre les générations, [8]
Que veulent dire ces mots “l’autonomisation des femmes”, “l’égalité des sexes” et “l’équité entre les générations” ? Sont-ils des euphémismes pour la promotion de l’avortement, de la doctrine du genre et de l’euthanasie ? Et que fait ce paragraphe ici, dans le préambule d’un texte sur le climat ? Si nous nous trouvions devant un vaste mouvement ayant pour dessein secret de redessiner l’humanité, l’aurait-on dit autrement ? Non seulement ce paragraphe jette le doute sur l’ensemble de l’Accord de Paris, mais il y donne une tournure sinistre. Sauf que cela n’est plus sinistre aux yeux de la majorité endoctrinée. La climatocrédulité est emballée dans un paquet surprise qui contient en fait les mesures les plus radicales pour façonner Le meilleur des mondes[9]

A cela, permettez-moi d’ajouter les remarques suivantes d’une pertinence totale. Jonathon van Maren, journaliste canadien, écrit sur la question pourquoi beaucoup de conservateurs sont des climatosceptiques.

Tout d’abord, les progressistes passent beaucoup de temps à critiquer ceux qui ne partagent pas leur opinion sur la nature apocalyptique du changement climatique. Pour eux, ces gens sont des “négationnistes de la science”. Le mot est calqué sur celui des “négationnistes de l’holocauste” et calculé pour avoir le même effet. Mais le problème pour les progressistes est leur manque de toute crédibilité dans ce dossier. Ils semblent seulement tenir à la science quand cela les arrange. Comme le disait Sean Davis sur Twitter, au début des récriminations autour du retrait de l’Accord de Paris : “Si vous ne pouvez pas me dire combien il y a de genres, ni à quel moment commence la vie humaine, permettez-moi de ne pas m’arrêter à vos théories sur la météo du siècle prochain.”
… Il y a un consensus scientifique coulé dans le marbre sur la question du début de la vie – à la conception [10] – mais dès qu’on parle du sujet de la vie humaine intra-utérine – une vie que l’on peut en fait observer – les progressistes se muent en négationnistes de la science. Et pourquoi ? Parce qu’admettre le fait évident que la vie humaine intra-utérine est bien une vie humaine causerait des dommages au sacrement séculier de l’avortement. … La même chose s’applique au sujet de la nouvelle folie du genre. Il y a maintenant des révolutionnaires sociaux qui prétendent qu’il peut y avoir jusqu’à 50 genres ou identifications sexuelles, et la tendance d’une autodétermination absolue – des gens qui s’identifient comme des animaux, voire même des enfants – est en route. Des scientifiques qui ne sont pas d’accord, comme le psychologue Dr Jordan Peterson, sont mis au pilori comme des bigots haïssables. On leur dit que leur désaccord constitue en fait une violence réelle. … 
Pourquoi [nos progressistes] ignorent-ils l’embryologie que l’on peut observer [11] tout en étant obsédés par une climatologie théorique ?
Les progressistes ne veulent pas seulement toujours plus de régulations. Ils veulent restructurer l’économie mondiale sur base d’un palmarès scientifique de prédictions récurrentes d’apocalypses qui ne sont jamais arrivés. … Les gens produisent du dioxyde de carbone, le dioxyde de carbone est en train de nous tuer, donc les gens sont mauvais et doivent être tués. Heureusement, nous avons le Planning familial international et la phalange d’apologistes progressistes négationnistes de la science qui font des heures sup pour les protéger d’investigations pour nous y aider. [12]

Ce n’est pas tout. Le retrait des USA de l’Accord de Paris a soulevé également l’ire de certains capitaines des grandes entreprises américaines. Parmi eux, des leaders d’entreprises de la Silicon Valley comme Apple, Facebook et Google. Or, ces mêmes personnes ont écrit, il y a peu, une lettre au gouverneur du Texas, Greg Abbott, pour protester contre une nouvelle loi que celui-ci s’apprêtait à signer. [13] Quelle loi ? Une loi qui permettrait de protéger contre la législation pro-gay ces centres d’adoption qui refusent d’accepter des personnes homosexuelles et transgenre comme futurs parents de leurs enfants à adopter. Les PDG de ces sociétés appellent cette loi discriminatoire et demandent au gouverneur de ne pas la signer, ou, autrement dit, de continuer une politique lourdement en faveur des lobbys gays. Le bâton derrière la porte : S’il signe quand même la loi, cela coûtera des emplois, beaucoup d’emplois.

Etrange amalgame entre la politique préconisée par l’Accord de Paris et les pouvoirs économiques pro LGBTrans. Sous nos yeux, une nouvelle dictature qui se veut planétaire est en train de remplacer la démocratie moribonde.


Tout autour de nous, les anciens fondements sont explosés les uns après les autres. Les anciennes libertés sont peu à peu échangées contre le privilège de pouvoir “sauver la planète”, tout en “autonomisant la femme”, en atomisant le couple, en stérilisant tout vrai débat et en coupant l’Occident de ses vraies racines. Rapidement, la dictature des crédules se mue en une dictature tout court. Quand cette nouvelle “liberté” s’avérera être le pire des esclavages, il sera sans doute trop tard. Mais il sera grand temps de lire l’Apocalypse. Si, toutefois, on en aura encore la permission. [14]





[1] Puis-je proposer qu’on utilise systématiquement ce vocable par souci d’équité et d’honnêteté intellectuelle ? En effet, on parle souvent et en négatif des climatosceptiques. Les scientifiques étant divisés sur cette question, l’autre coté doit être qualifié d’une façon semblable. Je pense que “climatocrédule” convient plutôt bien.
[2] Vous pouvez trouver l’essentiel du texte ici : http://palingenesie.com/accord-de-paris-interview/.
[3] James Reston, Jr, The last Apocalypse, Europe at the year 1000 A.D., Random House, Anchor books, 1998, page 51.
[4] Cité en : Samuele Furfari, L’écologie au pays des merveilles, Paris: François Bourin Editeur 2012, page 194. C’est moi qui souligne.
[6] Une féministe connue depuis les années 60.
[9] Le titre du roman d’anticipation d’Aldous Huxley, écrit en 1932.

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